Levé de bonne heure afin de monter à Copahue situé à environ 20km, 500m de dénivelé positif, vent de face, le tout sur chemin de gravier, de belles inclinaisons et des zones de sable pour s'enterrer et s'assurer que la partie ne soit pas si simple.

À quelques km de l'arrivée, passage obligé par les thermes abandonnées de "las Máquinas" situé sur un terrain de l'armée, dont un militaire nous consent l'accès. En raison du manque de neige de l'hiver passé, le puit naturel principal est une piscine de boue chaude, heureusement deux autres bassins plus petits se trouvent au pied de la montagne qui disposent de suffisamment d'eau pour profiter de l'endroit, des propriétés curatives du souffre et de l'argile. Auparavant passage par le baquet principale pour explorer la zone, observer le sol en ébullition, des cheminées de vapeur naturelles, une cabane de bric et de broc faisant office de sauna, des contrastes de couleurs tonitruantes se mariant avec des textures de boue grisée de toute beauté. Poursuivons la visite, passage par les bikes pour récupérer le pique-nique et direction les deux piscines naturelles, l'une aux couleurs grise et bleu céleste et l'autre plutôt dans les tons verdoyants, évidemment des bulles remontent à la surface de tous les côtés, plus on s'en approche et plus la température de l'eau monte. Attention aux brûlures! L'endroit est unique, nous sommes seuls! Point de maillot de bain, le cuir au vent nous commençons par le puit vert plus tempéré, avant de se mettre évidemment dans l'eau chaude du second puit. Le vent est balèze, il fait vite froid lorsque l'on n'est pas immergé. Nous passons ainsi d'un puit à l'autre, enchaînant séance de bien être, jeux érotiques, session de traitement de peau à la boue volcanique puis session de photos sensuelles. Un moment unique!

Le soleil darde nos corps en raison de l'altitude, il nous rappelle qu'il est temps de trouver un coin d'ombre protégé du vent pour le déjeuner. Nous engloutissons notre salade en cinq sept sous le porche des anciens bâtiments abandonnés. Le voyageur a vélo est un voyageur affamé, la dépense d'énergie étant intense, la sensation de faim est quasi permanente.

Il est temps de poursuivre vers Copahue, c'est reparti pour la montée, l'intensité du vent a encore augmenté et il faut déjà penser à fureter un endroit pour la nuit. À hauteur du lac Mellizas un chemin rentre en direction du volcan, nous invitant reluquer la zone. Au bout du chemin commence le sentier en direction du volcan, c'est noté...

Retour su la route de gravier en direction de Copahue pour gravir les derniers km qui nous séparent du point d'arrivée.

 Ce petit village, station thermale, limitrophe au volcan du même nom, a des relents et des vapeurs de souffre de tous les côtés. Néanmoins l'ambiance y est plus que bizarre. Énormément de bâtiments abandonnés et essentiellement des cabanes à louer pour les touristes de la valeur de souffre émane des bouches d'égout. Nous avisons un policier très sympa sur notre intention de trouver un endroit pour un camping sauvage, histoire qu'il sache si quelqu'un désire nous dénoncer. Par les temps qui courent il n'y aurait rien de surprenant.

En face l'hôtel Monica est abandonné, au milieu des bâtiments un patio à l'abri des regards avec de l'herbe, un endroit idéal.

Avant de se poser, direction le camping du coin pour étudier une autre option, trouver une douche histoire de se débarrasser de l'odeur d'oeuf pourri et de souffre qui nous colle à la peau depuis que nous nous sommes mis dans les sources naturelles.

Au camping, l'option n'est pas viable, le type est un imbécile de service du système, fier de sa connerie, triple injecté et orgueilleux de l'être (abruti de base), le prix est exorbitant pour l'endroit et l'idiot du village demande un carnet de vaccination, ce qui est totalement contraire à la constitution Argentine, impose le port du linge sale sur le visage, ce qui encore une fois est interdit par la constitution. La chance pour lui est que Marian est allée se renseigner, si ça avait été moi, je l'aurai détruit. C'est tout de même fou que les gens se soumettent si facilement à des mesures aucunement basées sur des données scientifiques, sans se renseigner sur la loi et leur droit. ce n'est de loin pas mon cas et ni des avocats qui ont fait circuler les documents et textes de loi qui nous protègent de toutes ces mesures débiles qui n'ont aucun but sanitaire, on parle bien ici de contrôle et de soumission.

Insupportable ces zombies au cerveau lavé qui veulent imposer leur ignorance aux autres.

Comment peut on être autant ignare et inculte après deux ans de plandemie ???

Martin Luther King disait à juste titre:

« Notre monde sera sauvé du sort qui le menace NON par l'adaptation COMPLAISANTE d'une majorité CONFORMISTE, MAIS par l'inadaptation CRÉATRICE d'une minorité NON-CONFORMISTE ». Soumission? Jamais ! Et honnêtement je trouve pathétique d'accepter d'être un cobaye de l'industrie pharmaceutique juste pour pouvoir voyager ou aller au restau...

Nous finissons par négocier l'accès à une douche au centre thermales où les zombies masqués pullulent. Quelle contradiction incroyable que de se rendre à un tel centre pour prendre soin de sa santé, se promener en peignoir et maillot de bain à l'air libre avec un masque sur le visage contenant de l'oxyde de graphène, cancérigène à souhait, bloquant ses voix respiratoires, s'auto-intoxiquant avec son propre dioxyde de carbone avec un tissu dont la maille est entre 6 et 30 fois plus grosse que la taille de n'importe quel virus dont ils respirent des centaines de milliers à chaque minute de leur vie. Les gens ont-ils perdu toute once de bon sens ? La servitude rend-elle complètement con ? Au final la connerie c'est comme l'imagination, sans limite...

Heureusement la femme de ménage nous laisse l'accès aux douches et nous permet de remplir nos gourdes, évidemment sans le tissu stupide. On en ressort frais et dispo.

De toute manière ça fait déjà un moment que je boycotte toute personne ou marchand qui essaient de m'imposer cette mesure, n'hésitant pas à lui planter sous le nez la constitution et les textes de loi qui la composent, au sommet de la pyramide des droits.

Évidemment, comme toujours nous trouvons un magasin libre de masque pour y faire nos provisions et enchainons vers la cour intérieure de l'hôtel Monica pour y passer un nuit tranquille, bercé par le bruit du vent sur les toiles de tentes et les vagues de vapeur de souffre.