Encore et toujours ces aller-retours entre Ibiúna et São Paulo en fin de semaine pour voir grandir les chiots et profiter de la campagne. 


La ville m'étouffe gentiment et il me tarde de reprendre la route. cette semaine je termine ce travail qui me fera un peu de monnaie pour la suite de mon parcours puis je repartirai à l'aventure.


Toujours aucune nouvelle de mon matériel provenant de France mais celui de Suisse ne devrait pas tarder.

Ayant payé les taxes d'importations de ma tente, je devrais la recevoir cette semaine et ainsi pouvoir reprendre mon odyssée, direction Ouro Preto pour descendre la première route royale ouverte par la couronne portugaise au 17ème siècle.

Quant au reste du matériel (filtre à eau, panneau solaire, etc...) je repasserai par São Paulo début mars en espérant qu'il sera enfin arrivé. Sinon je ferai sans.


"lorsque l’on possède trop de choses dont on ne veut pas se séparer, on en devient esclave et ce sont ces mêmes choses qui finissent par nous posséder."


"Libre du bonheur des esclaves, délivrée des dieux et des adorations, sans épouvante et épouvantable, grande et solitaire: telle est la volonté du véridique." ainsi parlait Zarthoustra. :-)


je finirai par cette phrase de Krishnamurti dans le commencement de l'apprentissage:


"Nous ne sommes rien sans la relation qui comme la liberté implique la responsabilité.

Vivre c’est être en relation!"


Je vous laisse quelques photos du weekend en attendant que le traintrain sorte du tunnel.